Les services statistiques du ministère indiquent que le nombre d’enregistrements de faits a pratiquement doublé depuis 2016. Ils l’attribuent à un contexte de libération de la parole et d’amélioration des conditions d’accueil des victimes par les services de police et de gendarmerie. Tout en se félicitant de cette avancée, les associations signalent que de nombreuses victimes ne se déclarent toujours pas et appellent à plus d’actions de lutte contre les violences conjugales.
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